L’hippocampe conserve les traces des expériences stressantes négatives pouvant mener à des comportements liés à la dépression.

Un article de l’équipe du Prof. Tak Pan Wong du Centre de recherche Douglas, Professeur au département de psychiatrie de l’Université McGill, a paru aujourd’hui dans la revue Journal of Neuroscience. L’étude, basée sur un modèle de dépression utilisant le stress social chez la souris, est une des premières à présenter qu’un marqueur biologique au niveau de l’hippocampe pourrait expliquer les difficultés cognitives qui sont fréquemment observées en lien avec la dépression.