Le FRQ accorde du financement à plusieurs chercheurs et étudiants du Douglas

Le 2 mai 2025

Félicitations à nos chercheurs et étudiants qui ont reçu un financement du FRQS !

Cette semaine, le Fonds de recherche du Québec (FRQ) a annoncé les résultats de ses demandes de financement. Nous avons le plaisir d’annoncer que six bourses salariales de chercheurs et chercheuses, un projet DIALOGUE et de nombreux étudiants et étudiantes ont été financés par le FRQ.

Félicitations à tous !

Chercheur-boursier/chercheuse-boursière

Katie Lavigne – Chercheuse-boursière, Junior 1

Comprendre la santé cognitive et cérébrale en psychiatrie transdiagnostique: Une approche multi-échelle et de science ouverte

De nombreuses personnes souffrant de troubles psychiatriques (dépression, troubles anxieux, schizophrénie) présentent des dysfonctionnements cognitifs (difficultés de mémoire et d’attention) qui peuvent avoir un impact profond sur leur vie quotidienne. Une mauvaise santé cognitive est due à des anomalies cérébrales et il entraîne des symptômes cliniques (dépression, psychose, etc.) ainsi qu’un faible niveau de fonctionnement (réussite scolaire et professionnelle, etc.). Les outils cognitifs informatisés (c’est-à-dire numériques) ont un immense potentiel pour améliorer notre compréhension du dysfonctionnement cognitif dans les troubles psychiatriques, car ils offrent une précision, une normalisation et une automatisation accrues, ainsi que de nouvelles possibilités d’exploiter la cognition dans divers contextes (des applications pour smartphones en déplacement jusqu’à l’imagerie cérébrale basée sur des tâches).

Notre recherche utilise les technologies numériques et les techniques d’imagerie cérébrale de pointe pour mieux comprendre et promouvoir la santé cognitive et cérébrale des personnes atteintes des troubles psychiatriques. À travers trois thèmes principaux, nous allons (1) développer de nouveaux outils pour améliorer la façon dont la cognition est mesurée, utiliser ces outils pour (2) comprendre comment la cognition fluctue au fil des jours, des semaines et des mois et comment elle est liée aux symptômes et aux facteurs environnementaux (par exemple, le sommeil et l’exercice), et (3) identifier les mécanismes cérébraux à l’origine du dysfonctionnement cognitif dans les troubles psychiatriques.

Nos nouveaux outils numériques mesureront la cognition dans différents contextes, à partir des smartphones et les tablettes jusqu’aux appareils d’imagerie cérébrale, comme l’imagerie par résonance magnétique. Nous partagerons ces outils ouvertement avec l’ensemble de la communauté afin d’obtenir l’avis d’experts, de personnes ayant une expérience de la maladie mentale et du grand public. En partageant ouvertement nos mesures, nous pourrons les utiliser dans des contextes de recherche, cliniques et éducatifs pour un meilleur impact. Grâce à ces nouvelles technologies, nous mènerons des études pour examiner comment la cognition fluctue dans le temps, comment elle est liée aux symptômes cliniques et aux facteurs environnementaux (comme le sommeil et l’exercice) et comment elle est pilotée par le cerveau. Des études utilisant des données rétrospectives seront également utilisées pour soutenir ce travail. Nos recherches permettront de mieux comprendre le dysfonctionnement cognitif dans les troubles psychiatriques afin de prédire les symptômes et d’informer les professionnels de la santé sur les fenêtres thérapeutiques critiques.

Maxime Montembeault – Chercheur-boursier, Junior 1

Changements langagiers et socio-émotionnels dans le vieillissement et les maladies neurodégénératives

Environ 500 000 Canadiens vivent actuellement avec une démence, et ce nombre pourrait atteindre 912 000 d’ici 2030. La maladie d’Alzheimer est la forme la plus courante de démence, caractérisée par des troubles de la mémoire. Cependant, d’autres fonctions cognitives comme le langage et les habiletés socio-émotionnelles peuvent également être affectées dans la démence d’Alzheimer et d’autres types de démences. La démence frontotemporale (DFT), qui survient souvent avant l’âge de 60 ans, touche principalement le comportement et le langage. Ces deux domaines, bien qu’étudiés séparément, sont en réalité intimement liés. Le langage est avant tout une fonction sociale, et les indices socio-émotionnels sont souvent transmises via le langage. Le but de ce programme de recherche est de mieux comprendre ces interactions pour améliorer la détection et le diagnostic des démences.

Le programme de recherche s’articule autour de trois axes principaux :
Axe 1 : L’anomie comme marqueur de détection précoce de la maladie d’Alzheimer :
L’anomie, ou la difficulté à retrouver ses mots, est l’une des plaintes cognitives les plus courantes chez les personnes âgées, souvent perçue comme une partie normale du vieillissement. Cependant, cette difficulté pourrait être un signe précoce de la maladie d’Alzheimer. Ce premier axe de recherche vise à démontrer que les plaintes subjectives liées à l’anomie sont en fait associées à des biomarqueurs spécifiques de la maladie d’Alzheimer. Des données provenant de plusieurs bases de données existantes seront utilisées pour établir ces liens. L’étude vise également à évaluer de nouveaux tests linguistiques digitaux, capables de prédire les biomarqueurs de la maladie dans deux cohortes québécoises.
Axe 2 : Les troubles langagiers et socio-émotionnels dans la démence frontotemporale :
La démence frontotemporale est une forme plus rare et moins bien comprise de démence. Ce deuxième axe de recherche se concentre sur l’identification des troubles langagiers et socio-émotionnels spécifiques à chaque variante de la démence frontotemporale, à la fois au début de la maladie et au fil de sa progression. Le but est également de mieux comprendre les mécanismes cérébraux responsables de ces troubles, en utilisant des techniques avancées d’imagerie cérébrale.
Axe 3 : Les facteurs sociaux pouvant influencer les troubles langagiers et socio-émotionnels, et leurs impacts au quotidien :
Le déclin cognitif ne se produit pas en vase clos. Il est influencé par l’environnement social et affecte également la vie quotidienne en retour. Ce troisième axe de recherche explore comment des facteurs sociaux tels que le niveau d’éducation, la complexité occupationnel et le multilinguisme influencent les capacités langagières et socio-émotionnelles. L’objectif est également de mieux comprendre l’impact de ces troubles sur la vie sociale des personnes, afin d’adapter les soins en fonction des besoins individuels.

Ce programme de recherche sur quatre ans vise à intégrer les connaissances sur le langage et les habiletés socio-émotionnelles dans le contexte des démences, tout en prenant en compte les aspects sociaux et neurobiologiques, afin d’améliorer la prise en charge clinique des patients.

Lena Palaniyappan – Chercheur-boursier clinicien, Senior

Intervention précoce éclairée par les neurosciences pour les maladies mentales graves chez les jeunes

La schizophrénie, l’une des maladies les plus persistantes et les plus invalidantes, entraîne plus de 2 millions de journées d’hospitalisation par an et coûte plus de 6 milliards de dollars annuellement au Canada. Malgré les progrès réalisés en matière de traitement, seuls 15 % des patients ont un emploi et les résultats en matière d’invalidité ne se sont guère améliorés au fil du temps. Les médicaments antipsychotiques actuels se concentrent principalement sur les voix et les délires et ne parviennent pas à soulager d’autres symptômes clés tels que la désorganisation de la pensée et le retrait social. Il s’agit de symptômes non psychotiques qui ont un impact significatif sur la récupération fonctionnelle. Nous ne pouvons pas étudier les symptômes non psychotiques chez les animaux, car ils ne parlent pas et ne socialisent pas de la même manière que nous. Nous avons besoin de méthodes fiables pour étudier ces symptômes afin de pouvoir développer de nouvelles thérapies. Mon programme de recherche clinique, intégré dans plusieurs consortiums multidisciplinaires internationaux, s’étend de la linguistique à l’imagerie cérébrale spécialisée et est bien placé pour relever ce défi. L’objectif principal de mon programme de recherche est de déterminer comment les symptômes non psychotiques se développent. Ce faisant, nous voulons être en mesure de prédire, de prévenir et d’intervenir à un stade précoce de la schizophrénie. Pour y parvenir, mon approche s’articule autour de trois thèmes : (1) améliorer la mesure des symptômes non psychotiques à l’aide de l’intelligence artificielle appliquée à la production verbale et au langage et démontrer son utilité pour prédire les rechutes de psychose, (2) utiliser l’imagerie cérébrale avancée pour clarifier les processus physiques, chimiques et biologiques dans le cerveau qui donnent lieu à ces symptômes, et (3) identifier les symptômes très précoces de maladies mentales graves à l’aide de nombreuses modalités de marqueurs biologiques, comportementaux et émotionnels dans une cohorte de jeunes dans le besoin (à partir de 9 ans). La direction académique-clinique que j’exerce met l’accent sur l’apport des connaissances en neurosciences pour développer et tester des thérapies à l’échelle mondiale, en se concentrant sur la santé mentale des jeunes. Avec le temps, cette approche modifiera progressivement la pratique actuelle qui consiste à choisir des traitements sur la base d’impressions subjectives des médecins pour une mesure objective des problèmes d’une personne à partir de ses propres mots et l’utilisation d’approches de prévention spécifiques et adaptées à la personne.

Rachel Rabin – Research Scholar, Junior 2

Nouvelles approches pour l'examination des corrélats cliniques, cognitifs et neuronaux des troubles addictifs

La dépendance est un trouble psychiatrique courant mais encore peu étudié, qui touche une grande proportion (~22 %) des Canadiens au cours de leur vie. Bien que la dépendance soit l’une des principales causes de décès évitables, d’invalidité, de blessures et de problèmes sociaux, les résultats des traitements pour les personnes atteintes de dépendance sont médiocres. Autrement dit, de nombreuses personnes qui tentent d’arrêter d’utiliser des substances addictives rechutent. Cela peut être dû au fait que certaines substances addictives ne disposent pas de médicaments approuvés (par exemple, la cocaïne, le cannabis). Bien que d’autres substances addictives aient des médicaments disponibles, comme la nicotine, leur efficacité pour maintenir l’abstinence est souvent limitée. Par conséquent, de meilleurs traitements pour les troubles liés à la dépendance sont urgemment nécessaires. Mon programme de recherche se concentre sur la compréhension des comportements, des schémas cérébraux et des aspects de la santé mentale associés aux substances addictives, dans le but de trouver de nouveaux et meilleurs traitements pour la dépendance. Plus précisément, nous employons des expériences innovantes pour mieux caractériser les conséquences de la dépendance et nous étudions comment elles peuvent différer entre les hommes et les femmes. Nous examinons également pourquoi certaines substances addictives peuvent être consommées ensemble (par exemple, le cannabis et le tabac) et comment cela peut affecter la capacité de la personne à arrêter ces substances. Enfin, nous cherchons à savoir si la dépendance au tabac et à la cocaïne est associée à une dérégulation d’un système cérébral spécifique. Collectivement, nous croyons que ce travail peut aider à orienter le développement de nouveaux traitements plus efficaces pour les millions de Canadiens souffrant de dépendance.

Delphine Raucher-Chéné – Chercheuse-boursière clinicienne, Junior 1

De la cognition sociale au fonctionnement social : des approches innovantes pour améliorer le bien-être des personnes vivant avec un trouble bipolaire

Les troubles bipolaires (TB) se caractérisent par des variations extrêmes de l’humeur allant de phases dépressives à des phases d’excitation appelées maniaques. Les personnes souffrant de TB peuvent avoir des difficultés à communiquer ; en effet, pour échanger avec quelqu’un, il faut comprendre les émotions exprimées (ex : la joie ou la tristesse) et avoir une idée de ce à quoi cette personne peut penser. Cela s’appelle la cognition sociale, et avoir de moins bonnes compétences dans ce domaine rend le quotidien plus difficile à vivre avec un impact négatif sur le bien-être et les relations sociales. Bien évaluer la cognition sociale est alors central et nécessite des tâches adaptées à la population, accessible au plus grand nombre, et plus proche des situations vécues en intégrant la réalité sociale des individus vivant avec un TB (ex : en lien avec le travail). Une fois mieux définies, ces difficultés seront mieux prises en charge, à l’aide d’interventions plus ciblées et qui seront accessible à distance. L’objectif de ce programme est donc de mieux évaluer et traiter les difficultés en cognition sociale des personnes vivant avec un TB afin d’améliorer leur bien-être.
Ce programme vise 3 objectifs :
(1) améliorer l’évaluation de la cognition sociale à l’aide d’une tâche utilisant les technologies de la réalité virtuelle. Une tâche utilisant un environnement de réalité virtuelle sera créée à partir de scénarios rencontrés dans le quotidien. Une fois finalisée, l’acceptabilité et la faisabilité seront testées ainsi que les différences entre les groupes clinique et non clinique.
(2) démêler les effets potentiels de facteurs sociaux liés à la santé, tels que l’emploi, sur les capacités en cognition sociale. Pour cela, des personnes vivant avec un trouble bipolaire, actuellement employées, et suivies à la Clinique Externe des Troubles Bipolaires du Douglas, seront recrutées pour une évaluation répétée à deux mois portant notamment sur les conditions de travail, les interactions avec les collègues, l’estime de soi, la stigmatisation, ainsi que sur la cognition sociale.
(3) proposer des interventions innovantes ciblant la cognition sociale pour les personnes vivant avec un TB afin d’améliorer leur quotidien. Pour ce projet, deux interventions seront proposées (Remédiation Cognitive Basée sur l’Action et Cerveaux@Travail). L’acceptabilité, l’adéquation et la faisabilité des interventions sera testé, ainsi que leur efficacité sur le fonctionnement social, la qualité de vie et le bien-être des participants.
Une meilleure compréhension des atteintes de la cognition sociale dans le TB permettra d’intégrer ces connaissances dans des programmes cliniques, dans une perspective de développement des systèmes de santé apprenants en santé mentale.

Nicolas Tritsch – Chercheur-boursier, Senior

Découverte des mécanismes moléculaires, cellulaires et de circuits par lesquels les neuromodulateurs contrôlent la sélection, l'exécution et l'apprentissage de mouvements

« Le monde s’offre à vous ». Cette expression courante suggère que nous sommes libres de choisir parmi les nombreuses options que le monde nous offre. Bien que cela semble relativement simple, les procédés par lesquels notre cerveau prend en compte les possibilités qui s’ouvrent à nous pour choisir le meilleur plan d’action restent encore largement inconnus. L’objectif du laboratoire Tritsch est de mieux comprendre comment nous tirons les leçons de nos expériences passées afin de mieux informer et motiver nos actions futures. Nous nous concentrons sur deux molécules essentielles à l’apprentissage et la motivation : la dopamine et l’acétylcholine. Nous cherchons à répondre à trois grandes catégories de questions : comment la dopamine affecte-t-elle l’activité des cellules du cerveau (Axe de recherche 1), comment l’acétylcholine enrichit-elle les actions de la dopamine sur le cerveau et le comportement (Axe de recherche 2), et comment la dégénérescence des neurones dopaminergiques compromet-elle l’activité des cellules cérébrales et le comportement dans le cas de la maladie de Parkinson (Axe de recherche 3) ? Pour répondre à ces questions fondamentales, nous utilisons plusieurs méthodes expérimentales de pointe pour enregistrer et manipuler l’activité électrique des cellules cérébrales chez les souris de laboratoire. Notre objectif à long terme est d’identifier de nouvelles approches pour traiter la maladie de Parkinson, ainsi que les troubles de l’apprentissage et de la motivation.

Projet Dialogue

Nous sommes fiers d’annoncer que le projet de Dre Marie-Claude Geoffroy, « Éclairer la santé mentale des jeunes : une série de baladodiffusions alliant témoignages et science », a été approuvé pour un financement dans le cadre du programme de financement de projets Dialogue.

 

 

 

 

 

Une baladodiffusion francophone conçue pour et par les jeunes de 12 à 17 ans, afin de leur offrir un espace d'expression et d'information sur la santé mentale

Les thématiques abordées sont choisies par le conseil des adolescents du Centre d’excellence en santé mentale des jeunes, réunissant des jeunes de partout au Québec, concernés de près ou de loin par la santé mentale. Un nouvel épisode chaque mois (avec une pause bien méritée pendant les vacances d’été!) raconte l’histoire d’un adolescent qui s’interroge sur un enjeu de santé mentale. Il s’entretient avec des chercheurs et des professionnels de la santé mentale pour tenter d’obtenir des réponses—
mais pas toujours ! L’objectif est surtout d’ouvrir le dialogue. Qu’est-ce que la santé mentale, au juste ? Dois-je en vouloir à mes parents si j’ai des problèmes ? Devrais-je limiter mon temps d’écran ? Pourquoi suis-je inquiet pour la planète alors que les adultes ne le sont pas ? Produite en collaboration avec le Centre de recherche Douglas, la fondation Douglas et la fondation Jeunes en Tête et Douglas, ainsi que l’équipe de recherche en prévention du suicide chez les jeunes – Papageno, et l’Observatoire pour la santé et l’éducation des enfants, cette baladodiffusion est réalisée par une équipe d’étudiants universitaires passionnés par la santé mentale, une scientifique, et un artiste documentaire. La série est portée par la voix des jeunes et une passion pour la communication scientifique, a pour mission d’informer, de sensibiliser, de faire réfléchir… et peut-être de donner un peu d’espoir.

Bourses étudiantes

Nous avons également le plaisir d’annoncer que plusieurs de nos étudiants et stagiaires ont également été récompensés.

Nom, Prénom

Titre

Programme

Azizi, Houman Associations entre la génétique de la maladie de Parkinson, la structure cérébrale et les phénotypes comportementaux et cellulaires Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Boy Waxman, Sebastián Interactions entre les rythmes circadiens et l’infection avec le parasite Leishmania Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Brzezinski Rittner, Aliza Modélisation de l’hétérogénéité neuroanatomique spécifique au sexe dans le vieillissement : une approche de neuroimagerie multimodale Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Chapman, Zoey L’Association longitudinale entre la santé physique à l’enfance et les comportements suicidaires des jeunes Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Civita, Alessia Détresse suicidaire à l’adolescence : conséquences à l’âge adulte sur la santé mentale Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Collet, Ophélie Exposition aux médicaments psychotropes pendant la grossesse et risque de comportements suicidaires chez l’enfant : imitation d’un essai contrôlé randomisé à partir des données de registres danois Bourses postdoctorales
Coulombe, Valérie La prosodie au cœur des déficits linguistiques et socio-affectifs dans la démence frontotemporale: Identification de marqueurs cliniques prosodiques et de leurs corrélats neurocognitifs Bourses postdoctorales
Davies, Megan Jeux vidéo, Émotions et Bien-être : Comprendre la culture du Streaming de Jeux Vidéo chez les Jeunes Bourses de doctorat en recherche
Deng, Jiaxuan Appliquer un modèle neuroscientifique multi-échelle chez les adolescents à risque de psychose : Les mécanismes neurocognitifs longitudinaux sous-jacents à la performance scolaire et au fonctionnement social Bourses de maîtrise en recherche – volet régulier
Ducharme, Emily Régulation du circuit striatal par la co-transmission acétylcholine-glutamate Bourses de maîtrise en recherche
El Mouslih, Chaimaa Le bilinguisme en contexte : Comment les facteurs cognitifs et les émotions impactent le discours spontané bilingue Bourses de maîtrise en recherche
Frigon, Ève-Marie Investigation de la prévalence et des substrats pathologiques des lésions cérébrovasculaires dans les maladies neurodégénératives Bourses postdoctorales
Honoré, Eve Découverte d’un nouveau circuit entre le noyau dorsal antérieur et le subiculum, essentiel pour la propagation précoce de la protéine Tau et l’altération de la mémoire spatiale dans la maladie d’Alzheimer Bourses postdoctorales
Huirong, Luo Impacts comportementaux et cardiométaboliques du travail de nuit chez les femmes Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Kamal, Farooq L’influence des infarctus régionaux et de la charge excessive de la substance blanche sur le déclin cognitif dans les populations atteintes de la maladie d’Alzheimer Renouvellement – Bourses postdoctorales
Mpai, Refilwe Caractérisation des réseaux périneuronaux dans le cervelet humain : ces structures sont-elles affectées par la maltraitance
infantile?
Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Nathan, Vikram La modélisation transcriptomique et connectomique de la vulnérabilité régionale dans la synucléinopathie Bourses de maîtrise en recherche – volet régulier
Ourry, Valentin Identification des facteurs de risque modifiables et des mécanismes liés à la résistance et la résilience d’Aβ et tau chez les personnes âgées à risque de maladie d’Alzheimer Renouvellement – Bourses postdoctorales
Penichet, Danae Interactions moléculaires entre l’infection prénatale et le dérèglement circadien comme bases de la vulnérabilité individuelle à la schizophrénie Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Phan, Annie Enquête longitudinale sur le rôle de l’activation immunitaire maternelle et son interaction avec le stress précoce sur le développement neurologique Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Roy, Nathaniel L’exercice et la thérapie par photo-biomodulation comme modulateurs potentiels entre adversité à l’adolescence et développement neurologique Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Sarty, Isabel Évaluation longitudinale de l’inflammasome NLRP3 dans le spectre de la maladie d’Alzheimer : focus sur la voie de signalisation de l’interleukine 18 (IL-18) Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Taniguchi, James Une nouvelle technique d’imagerie pour l’évaluation quantitative des niveaux de dopamine in vivo Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Tatar, Ovidiu Profils, trajectoires et qualité des services des usagers avec un trouble lié au jeu de hasard et d’argent traités en centres de réadaptation en dépendance Bourses postdoctorales
Yakoub, Yara Comparison of seven assays for plasma p-tau217 quantification over time across Alzheimer’s disease spectrum Bourses de doctorat en recherche – volet régulier
Zephirin, Cassandra L’Association de l’irritabilité de la petite enfance avec les idées suicidaires et les tentatives de suicide chez les jeunes: Test du rôle modérateur des pratiques parentales dans une étude longitudinale de 23 ans Bourses de maîtrise en recherche – volet régulier
Zhu, Yujun Sonder les circuits impliqués dans la récupération des fonctions cognitives induites par la stimulation tactile dans un modèle murin de la maladie d’Alzheimer Bourses de maîtrise en recherche – volet régulier