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Stephanie Tullo
2024-03-27 @ 14:00 - 15:00 EDT
Rejoignez-nous le mercredi 27 mars 2024, à 14h00, pour la prochaine série d’imagerie du CIC.
Présentatrice
Stephanie Tullo
Biographie
Stephanie Tullo est candidate au doctorat à l’Université McGill dans le cadre du programme intégré en neurosciences. Ses recherches portent sur les maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson, et plus particulièrement sur la modélisation de la propagation in vivo et in silico des protéines de type prion , notamment celle de l’alpha-synucléine. Elle a obtenu une maîtrise en sciences à l’Université McGill, où elle a étudié les trajectoires neuroanatomiques résultant du processus de vieillissement normatif. Stephanie a travaillé dans divers domaines de recherche, allant de la recherche animale à la recherche informatique, en passant par la recherche sur l’homme. Elle a participé au recrutement de participants pour divers ensembles de données au centre de recherche du Douglas, où elle a effectué des tests téléphoniques, des examens IRM et des tests cognitifs auprès de participants allant de témoins sains à des patients souffrant d’une déficience cognitive légère, ainsi qu’à des patients chez qui on a diagnostiqué la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence.
Titre
Examen et modélisation de la propagation et de la pathologie de l’alpha-synucléine à l’aide de modèles murins et informatiques de la synucléinopathie
Résumé
Des études récentes suggèrent que la protéine alpha-synucléine dans les corps de Lewy peut se propager à la manière d’un prion, contribuant ainsi à la pathogenèse de la maladie de Parkinson et d’autres synucléinopathies. Les modèles animaux de propagation de l’alpha-synucléine sont les mieux adaptés pour examiner la propagation et la pathologie in vivo. Ces modèles peuvent ensuite être comparés à des modèles informatiques de propagation de l’alpha-synucléine afin d’identifier les facteurs qui prédisent le mieux sa propagation dans le cerveau. L’objectif de ce travail est de prédire la progression de la maladie et de fournir une plateforme pour tester des thérapeutiques grâce à la création de modèles bio-informatiques pour l’étude de la propagation des protéines, ce qui permettrait également d’étudier toute maladie dans laquelle la propagation des protéines est un facteur pathogène, comme on l’a supposé avec la bêta-amyloïde et la tau dans la maladie d’Alzheimer et avec la TDP-43 dans la SLA et la démence frontotemporale.
Comment participer
- En personne, dans la salle Bowerman, Institut Douglas
- S’enregistrer pour un lien Zoom